Merci les anciens !

La Leclerc Risle Cup ne serait jamais devenue ce qu’elle est aujourd’hui sans l’aide inconditionnelle de nombreux anciens joueurs du FC Serquigny (à l’époque, la fusion avec Nassandres n’avait pas encore eu lieu). Aujourd’hui chefs de leur propre entreprise ou dirigeants influents de très grandes marques, ils sont des rouages indispensables à la bonne marche d’un tournoi qui réunit plus de 300 enfants sur les pelouses du stade Marcel-Jacquin et près de 2000 spectateurs le temps d’un week-end de mai.


Ils ne veulent pas être cités ? Alors citons les. Ils s’appellent Fabrice Antonsic, l’un des meilleurs gardiens de l’histoire du club qui assure la nourriture de tous les clubs pros pendant la Risle Cup; Romuald Blondel, sans doute le plus grand potentiel du FCS, toujours resté au club par fidélité pour les copains, et qui, à travers son entreprise, Garczynski Trapoir, est l’un des plus gros contributeurs de l’événement ; Nicolas Morin, un ailier virevoltant à la patte gauche dévastatrice, dirigeant de l’entreprise Vallois, qui finance le tournoi et assure aussi le rôle de famille d’accueil pendant le week-end ; Laurent Bacquart, un arrière gauche qui vous invitait plutôt à aller jouer côté opposé lorsque vous étiez attaquant adverse, et qui, a la tête de son entreprise de plomberie Caldelys, est l’un des plus anciens sponsors de l’épreuve ; David Boulanger, très fin lorsqu’il évoluait à Serquigny et empiler but sur but, un peu plus enrobé avec la paternité mais ça ne lui va pas mal et ne l’empêche pas d’être généreux au titre de responsable commercial de son entreprise de fenêtres, KMC Ouvertures ; Steeve Gilles, un autre arrière gauche qui marquera l’histoire du club, un jour, c’est sur, avec les vétérans… on rigole Steevy !

Et comme il n’est pas rancunier, lui aussi contribue à la bonne marche de la Risle Cup grâce à son entreprise familiale; Jerome Besnard, qui aurait pu être l’un des plus grands buteurs de l’histoire du FCS s’il avait su se taire sur un terrain. Mais il ne se tait jamais, c’est sa devise, et surtout pas pour vendre des tickets de tombola pendant le tournoi, ni pour offrir des lots précieux pour les enfants ; Stéphane Duval, le Crivelli de la vallée de la Charentonne, aujourd’hui à la tête de son entreprise d’électricité, et également sponsor régulier et indispensable de l’épreuve.

À ces anciens joueurs, s’ajoutent les parents de joueurs ou d’anciens joueurs du club dont les entreprises font preuve de générosité, à l’image de Blondel Voisin ou de la Boucherie du Chemin Blanc de Frédéric Cheron. Tous savent qu’ils n’auront pas de retour sur investissement mais tous sont là pour aider, à leur manière, avec l’envie de rendre à un club qui leur a, au moins un peu, donné du plaisir. Encore merci !

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